J'avais adoré Rogue One: A Star Wars Story, son réalisateur Gareth Edwards, réalise un doublé avec The creator.
L'univers est très réaliste : Gareth Edwards a indiqué n'avoir eut retour aux CGI que de manière très minimale, pareil pour les décors où il a tenu à tourner dans du vrai, ça se voit forcément à l'image.
J'ai beaucoup aimé la diversité des robots, que ce soit les Simulants ou les robots plus classiques, le mix est très réussi.
Et puis ça fait du bien de voir une oeuvre originale, qui ne fait partie d'aucune franchise, aucun univers, qui se suffit à elle même.
Que l'IA nous effraye ou nous fascine, on passe d'un côté à l'autre pendant tout le film en découvrant les enjeux de chacun.
Côté interprétation, Madeleine Yuna Voyles joue super bien, elle m'a fait penser au personnage de Tenzin Gyatso dans 7 ans au tibet.
La scène finale m'a forcément arraché des sanglots alors que je m'y attendais.
Synopsis :
Dans un futur proche, les humains et l'intelligence artificielle (IA) se livrent une guerre sans merci. Joshua, un ex-agent des forces spéciales fragilisé par la disparition de sa femme, est recruté pour traquer et neutraliser le Créateur, l'insaisissable architecte d'une IA avancée à l'origine d'une arme qui pourrait mettre fin à la guerre... et détruire l'humanité tout entière. Avec l'aide d'une unité d'agents d'élite, Joshua traverse les lignes ennemies et pénètre au coeur de leur dangereux territoire. Il découvrira bientôt que l'arme funeste qu'il est chargé de détruire n'est autre qu'une intelligence artificelle supérieure qui a pris les traits d'un jeune enfant...